mercredi 30 avril 2008

The Film !!

Voilà mon Oeuvre ! (avec une majuscule et un point d'exclamation)
Bon, je suis désolée de ne pas avoir emmené mes techniciens lumière et mes maquilleuses, ça aurait eu plus de cachet.
Mais soyons honnêtes : vous êtes magnifiques ! Pas besoin d'artifices pour vous sublimer...

Video envoyée par

AMAP Le Potager Meudonnais
Vidéo envoyée par amap-meudon

Qu'est-ce qu'une Amap? Nous sommes allés à la rencontre de la toute jeune AMAP de Meudon pour en savoir plus...

lundi 28 avril 2008

Poulet au whisky, la recette !


Voici une petite recette super facile à faire qui nous a été transmise via Matthieu par un copain ariégeois (ça a son importance...). Voilà de bonnes idées pour cuisiner les poulets qui dorment sagement dans notre congélateur depuis la distribution chez Delphine. Bon appétit !

Ingrédients : 1 poulet de 1,2kg environ et une bouteille de whisky.
Prévoir du sel, du poivre, de l'huile d'olive et des bardes de lard. Vérifier que vous avez un tube de mayonnaise, on ne sait jamais...

Barder le poulet, le saler, le poivrer et ajouter un filet d'huile d'olive.
Préchauffez le four à température moyenne (220°C thermostat 5) pendant 10 minutes.

Se verser un verre de whisky et le boire.

Mettre le poulet au four dans un plat de cuisson approprié.

Se verser un verre de whisky et le boire. Renouveler cette dernière opération.

Après un quart beurre, fourrer l'ouvrir pour surbeiller la buisson du coulet.
Brendre la vouteille de biscuit et s'envoynet une bonne rasade.

Après un tard... un far t'heure... Abrès un moment quoi, dituber jusqu'au bour. Oufrir la borte, reburner, revourner... Mettre le noulet dans l'aurte sens. S'asseoir sur une butain de chaise et se reverdir 2 ou 3 verts de ouisti.

Buire, tuire, cuire le loulet bandant une deni-heure. Et hop ! 3 berres de blus.

Se rebercer une bonne voulée de poulet... non, de visky.

Rabasser le loulet (qu'est tombu bar terre), l'ettuyer et le voutre sur un blat.
Se béter la fihure cause gras sur le barrelage de la buisine. Ne pas essayer de se relever.
Déciver qu'on est bien par derre et binir la mouteille de misky.

Blus tard, ramber jusqu'au lit, dormir ze qui reste de la muit.

Le lendement matin, prendre un Alka Seltzer, manger le poulet froid avec de la mayonnaise en tube et nettoyer le bordel que vous avez mis dans la cuisine.

jeudi 24 avril 2008

Visite à la ferme


Un Samedi à la ferme, ça vous tente? Cybèle a testé, et elle nous raconte :

Samedi matin, nous étions six pour rendre visite à Ludo, visiter ses terres et lui donner un coup de main pour planter des oignons. La météo n'était pas vraiment de notre côté : il avait pas mal plu et la terre était mi-glissante, mi-collante, à tel point que Ludo a téléphoné pour nous prévenir et nous demander si on voulait quand même venir. Mais comme on était déjà en route pas question de faire demi-tour ! Nous sommes tous arrivés à peu près en même temps, un peu après 10h30. Comme il n'était pas très tôt, nous avons
 directement rejoint Ludo et les deux personnes qui travaillaient avec lui ce matin-là. Enfin directement... O
n avait quand même enfilé nos équipements anti-boue : vieilles chaussures ou bottes, vêtements de pluie et même pantalon étanche pour moi.
La première mission du jour : repiquer les choux. La terre préparée était recouverte d'un "plastique" biodégradable (de l'amidon de maïs en fait) dans

 laquelle un des employés de Ludo faisait des trous. Le repiquage consistait à placer les plans de choux avec leur petite motte de terre au fond des trous et à remettre un peu de terre par-des
sus. Il fallait aussi séparer les plants
 quand on en avait deux dans la même motte. ça a l'air facile comme ça, mais en pataugeant dans la terre mouillée, ça devient un peu plus compliqué! Mais comme nous étions tous encore frais et dispos, on est vite arrivés à la fin des plants et on est donc passés à la deuxième mission : les échalottes. Là, ch
acun ses trous ! Comme le plastique était très fin, on pouvait les faire directement avec les doigts ou avec un petit bout de bois et tout le monde s'en est donné à coeur-joie : une série de trous espacés d'une dizaine de centimètre, on enfonce un peu les échalottes en mettant bien les racines en bas et hop ! Arrivés au bout de notre rangée de terre, on avait tous faim et on est donc partis pique-niquer sous une serre. Une bonne surprise nous attendait à la fin du repas : le café et la délicieuse tarte aux pommes de la mamie de Ludo.
Le ventre bien rempli, nous nous sommes attaqués à une deuxième rangée d'échalottes. La terre était plus facile à creuser et on avait déjà une tout petit peu plus d'expérience alors ça a été plus vite... Heureusement car la pluie est arrivée en cours de route. Ludo nous a donc rapatriés dans 
les serres... Une très bonne occasion de faire la visite complète pour ceux qui, comme moi, ne connaissaient pas encore l'exploitation !

Nous sommes repartis un peu boueux, mais très contents de notre journée : c'était une excellente occasion de s'aérer un peu et d'apprendre plein de choses sur le travail de Ludo. Après cette visite, je ne vois plus mon panier de la même façon, et c'est très bien comme ça.

Cybèle


P.S (de Isa) : Je précise - car ils sont peut-être trop modestes pour le dire - que cette petite équipe d'amapiens a quand même planté 150 kilos d'échalottes !!!! Dixit Ludo. Qui dit mieux?

vendredi 18 avril 2008

Store Wars

J'ai pas pu résister !

Pour les fans de la Guerre des Etoiles, mais également un bon moyen d'éduquer nos enfants ;)

Store Wars VOSTF

Parodie de la Guerre des étoiles pour promouvoir l'agriculture biologique contre l'agriculture productiviste. En version originale sous titrée en français.

jeudi 17 avril 2008

Première Fête des AMAP d'Ile de France

Depuis l'année 2000, les Associations pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne défendent une agriculture respectueuse de l'environnement, de la santé et de l'Homme en privilégiant un mode de production naturel, la proximité et le lien direct avec les paysans. Cette fête est donc d'abord l'occasion pour les Amapiens d'île de France de se rencontrer et d'échanger sur le principe des Amap en général et sur les spécificités des Amap de grandes villes (difficulté à trouver des terres agricoles et des producteurs proches...). C'est aussi l'occasion de mieux se faire connaitre auprès de la population d'île de france, qui est chaleureusement invitée (l'entrée est libre). C'est enfin juste le plaisir de faire la fête. Et pour ça, on n'a pas besoin de raisons... ;-) Le samedi 24 mai 2008, de 15 heures à 22 heures Au Centre Culturel La Clef, 21 rue de la Clef. Paris 5ème. Métro Censier ou Monge (ligne 7)
PROGRAMME

15h - 16 h : accueil du public en musique avec Guyom
touseul, chanteur loufoque, engagé et poétique

Il y aura à boire : des tisanes, du thé, du café et du
jus de Pomme fermier. Vous trouverez... un stand
d'informations sur les Amap, de documentation sur
l'écologie, une table de livres sur l'écologie de la
librairie Jonas, Fabrice qui fera découvrir la
fabrication de conserves naturelles, un mur
d'expression libre, un atelier de peinture pour les
enfants animé par Claire, une exposition de
photographies sur les Amaps, un stand des faucheurs
d'OGM...

16h-18h : Table ronde sur les AMAPS en Ile de France,
animée par Ruth Stegassy, productrice de l’émission
Terre à terre (France Culture)

Quel est l'avenir de cette démarche écologique,
économique et solidaire ? Quelles sont les questions
sociales que pose ce mouvement en Ile de France : lien
social, accès au foncier, place de l'agriculture
biologique dans la région ?

Participants : Jerome Dehondt (AMAP des Lapereaux),
Mireille Ferri (vice-présidente du conseil régional
d'Île-de-France en charge de l'aménagement du
territoire), Francoise Krawice (AMAP de la Butte),
Marc Lipinski (vice président du Conseil régional en
charge de l'enseignement supérieur), Laurent Marbot
(représentant des producteurs au Bureau des amaps
d'île de France), Catherine Pasquier (Anthropologue),
Valérie Rosenwald (Assoc. Terre de liens)

18h-20h : Jambalaya (plats de partage à base de riz et
de mélange), grande Auberge espagnole, stands et
musique

Nicolas Bacchus : chanteur aux textes cinglants, poète
écolo et libertin

Frédéric Fromet et Taktouk : chansons vaches, mais
vachement bien

20h : projection du film Homo Amapiens

Christian et Mireille Disant sont agriculteurs « bio »
depuis vingt-cinq ans, à Cadenet, dans le Luberon. Il
y a dix ans, ils ont tout perdu, ferme et terres...
Malgré cela, leur rêve de paysan a été plus fort.
Alors, après le RMI et un retour au salariat, ils
décident de se relancer à leur compte, avec ce qu’ils
estiment être leur ultime chance, une AMAP. Quarante
familles de Marseille leur ont acheté d’avance leur
prochaine saison de récolte maraîchère. En échange,
chaque semaine, ils devront leur livrer un panier de
légumes frais et variés.

Le film retrace ce retour à la terre, les soucis
d'exploitation, la communication progressive entre les
producteurs et les consommateurs...

21h : Débat avec la réalisatrice, Bénédicte Mourgues

mardi 15 avril 2008

On l'a faite !!!
















On est les champions ! 
Nous étions 4 au départ de la 18e foulée meudonnaise de cette année 2008, et nous sommes arrivés tous les 4 à bon port, après 10km d'efforts insoutenables ! On est trop forts.
Vous pouvez voir sur cette magnifique photographie l'équipe au complet et dégoulinante de sueur juste après l'arrivée de la dernière roue du carosse (moi en l'occurrence).
Le départ a été donné à 10h45 environ. Les 600 coureurs sont partis dans un train d'enfer. Ludovic, Agnès et Mohinz étaient au milieu du peloton. Moi, j'avais sagement décidé de me mettre derrière, histoire de ne pas me laisser embarquer par l'enthousiasme général au point que j'aurais rendu l'âme après quelques centaines de mètres. Agnès, elle, est partie comme une fusée, tandis que Mohinz partait tranquillement (il a l'habitude des semi-marathons). De mon côté, j'ai regardé gambader dans le parc de l'observatoire les 600 coureurs qui me précédaient avant de partir tranquillement. Sachant parfaitement que la course serait moralement difficile, je me suis dit qu'il fallait mieux doubler que de se faire doubler. Et quand on est dernier, c'est rare de se faire doubler. J'ai parcouru mon premier kilomètre en compagnie d'une vieille dame qui devait friser les 80 ans. On a papoté ensemble jusqu'à la montée vers la forêt et là, je l'ai laissée en rade. Notre petit groupe de coureurs du dimanche a eu droit aux encouragements très chaleureux d'une bande de petits scouts qui criaient : "Les derniers seront les premiers!". Ils ont essayé de nous doubler, sans succès (derniers, mais pas des branques non plus. Woh l'ot'!).
Durant la descente le long de la 118, nous avons pu apercevoir les premiers de l'autre côté (ouah punaise ! Ils sont loin!). J'ai fait de grands signes pour dire coucou, mais personne ne m'a répondu (c'est pas rigolo les champions. Ils se prennent trop au sérieux). A ce moment-là, Mohinz avait déjà rejoint Agnès. Ils ont fait toute la course côte à côte, s'encourageant mutuellement dans les moments difficiles. Agnès précisant à chaque étape : "On a fait 1/3" "On est à la moitié" etc. Moi, j'ai passé ma course à regarder au loin pour tenter de rattraper Agnès avec qui j'avais préparé (si on peut dire ça...) cette épreuve. J'avais abandonné l'idée de rejoindre Ludo ou Mohinz avant le départ (pff! A moins d'être dopée, j'aurais pas pu suivre). Finalement, j'ai doublé plein de gens (l'avantage de partir en dernier) auprès de qui je tiens à m'excuser. Promis, c'était pas pour vous saper le moral.
J'ai lutté contre des points de côté dès le 4e Km (ben ouais, j'étais quand même à fond!) et très rapidement, j'ai câlé ma foulée à celle d'une dame sacrément gaillarde que je serais incapable de reconnaître à présent (je ne l'ai vue que de dos tout le long de la course). J'ai veillé à ne pas trop m'approcher d'elle car elle accélérait systématiquement en m'entendant approcher. 5, 6, 7, 8 km et toujours pas d'Agnès à l'horizon. Elle est trop forte décidément...
Au 9e km, Mohinz décide d'accélérer. Il largue Agnès, qui n'a plus de jus, pour finir en beauté. A ce même km (mais quelques minutes plus tard) je renonce à rejoindre Agnès que je n'aperçois toujours pas (mince alors !). Par contre, je décide que la dame devant moi va finir derrière moi à l'arrivée (non mais!). Je vise alors un petit peloton composé de coureurs et coureuses du dimanche (ça se voit à l'équipement) et je les grille tous dans la descente vers l'observatoire. Là, je commence à ne plus avoir d'énergie (mince alors, c'est si loin que ça l'arrivée?). C'est à ce moment que j'aperçois un couple de petits vieux. Je réalise qu'à même pas 30 ans, j'ai passé toute la course derrière eux (quelle brèle!), alors j'accélère et je termine en sprint. Eux ont droit à beaucoup d'applaudissements et au commentaire micro. J'apprend qu'ils ont 80 ans (snif! c'est déprimant!).
J'arrive enfin et je m'arrête, les jambes tremblantes. Je retrouve alors Mohinz, Agnès et Ludo, tous les trois arrivés avant moi. Ils sont encore tout suants, j'en déduis donc qu'ils n'étaient pas si loin de moi. Verdict du chrono :
Ludo (le plus rapide) : 42 minutes !! Waouh!
Mohinz : 55 minutes (mais chui sûre que t'étais pas à fond)
Agnès : 55 minutes et des brouettes (objectif atteint avec brio!)
Isa: 1h et 14 secondes (ça reste correct)
Avec Agnès, on visait moins d'une heure pour les 10km. On a atteint notre objectif (à quelques secondes près pour moi, mais on va pas chipoter...). La classe !!
Bon, perso, je suis dans les 50 derniers (sur 600 en plus!), mais ça veut dire que j'ai doublé 50 personnes ! Qui peut en dire autant? Hein? Qui??

samedi 12 avril 2008

Ils ont voté "oui"




ça y est, la loi sur les OGM a été votée et adoptée par l'Assemblée Nationale.
Pour : 249 
Notre député Jean-Jacques Guillet était absent et n'a donc pas voté.
Greenpeace parle d'un "débat torché et d'un vote irresponsable" (pas très élégant comme formule, mais ça traduit bien l'énervement). Je crois savoir qu'un amendement a été inclu qui parle d'implantation d'OGM "dans le respect des cultures conventionnelles", ce qui est franchement flou. C'est l'amendement 252. A vérifier... Mais est-ce que cela suffira à endiguer l'invasion? Pas sûr du tout. En tous les cas, la loi insiste sur les très lourdes sanctions qui vont désormais menacer les faucheurs volontaires. Les amendes et peines de prison sont vraiment TRES dissuasives...

mercredi 9 avril 2008

Bioconsomacteurs !

Salut à tous les Zamapiens et les Zamapiennes,

Lors du débat de jeudi soir (après la projection de "We feed the World"), nous avons pu entendre une représentante de l'association Bio Consom'acteurs. Cette association m'a paru très intéressante. Ils ont un projet de créer une Union de Consommateurs bio. Pour savoir de quoi il retourne exactement, je suis allée visiter leur site internet :
Je vous invite à aller y jeter un coup d'oeil aussi (il suffit de cliquer sur l'adresse Internet et la page s'ouvrira d'elle-même). C'est clair, sympa, et il y a quelques infos sur le débat à l'assemblée sur les OGM ainsi qu'une pétition à signer. Vous trouverez aussi un petit article sur le soja Round Up Ready  en Argentine ainsi qu'un lien vers un rapport très complet sur le sujet.
N'hésitez pas à leur envoyer des mails de soutien. C'est toujours utile et intéressant de développer des contacts avec d'autres associations.

A ciao ! Bonne semaine et n'oublie pas cher zamapien : Tiens bon la rampe !

samedi 5 avril 2008

The compte-rendu

Salut à tous !
Comme promis, voici un petit compte-rendu de notre séance ciné de jeudi soir. Pour ceux qui ont raté un épisode, le Centre d'Art et de Culture de Meudon (CAC pour les habitués) projetait le film "We feed the World" traduit en français : "La Faim dans le Monde".
Il y avait une cinquantaine de personnes dans la salle dont une bonne dizaine de membres de notre chère AMAP (merci à tous d'avoir répondu présents !).
J'ai recueilli les impressions de la plupart (mais pas tous encore), et voici un petit compte-rendu de la séance :
Le film a été globalement apprécié, bien qu'il soit un peu longuet à certains moments. On nous prédisait un choc qui changerait notre manière de manger lors de la présentation, mais il n'a pas eu lieu et pour cause : nous étions nombreux dans la salle à être sensibilisés aux défauts du mode de consommation actuel. Bien entendu, les images des tonnes de pain encore consommable déversées dans un hangar en vue d'être jetées, ou encore le traitement des volailles industrielles n'a laissé personne de marbre, mais le propos du film n'était pas nouveau : faire venir des tomates d'Espagne pour en trouver sur nos étals à Noël, ou détruire la forêt amazonienne pour planter du soja consommé par les poules européennes sont des abbérations (je sais jamais comment s'écrit ce mot...). Le film était tout de même de qualité, avec des moments de flottements (sans doute voulus) dans l'argumentation. A souligner qu'il se termine par une séquence très remarquable où le PDG de Nestlé (celui qui fabrique les petits pots pour bébés entre autres) qui nous explique que, concernant l'eau (Nestlé est le plus gros vendeur d'eau en bouteille au monde), il existe deux positions dont l'une lui paraît extrême : celle qui soutient que l'eau doit être accessible à tous, et l'autre beaucoup plus raisonnable : l'eau est une marchandise comme une autre qui a un coût. Reviennent alors les images (diffusées quelques minutes avant) d'une maman brésilienne faisant boire à ses enfants de l'eau croupie tout en sachant qu'elle est malsaine (et qui par ailleurs explique que sa famille crève de faim), ça fait rigoler jaune... Mais jaune foncé !!
Le débat qui a suivi ce film était un peu mou au départ. Il faut dire que 6 intervenants se serraient sur la scène : une chercheuse de Paris 12 travaillant sur "la résistance du consommateur", une représentante de Bio Consom'acteurs, deux représentantes d'Artisans du Monde, le responsable "développement durable" de la FNAC et un responsable de l'agriculture raisonnée. Difficile donc de mettre en place un débat très dynamique avec autant d'intervenants. La salle a été plutôt réactive, mais la multiplicité des thèmes abordés dans le film a un peu dissout les propos intéressants. Du coup, il est un peu difficile de faire état de toutes les interventions de la salle, comme des invités, d'autant que nous n'avons pas pris de notes.
Pour info, cette soirée était organisée par l'association Human Village qui en organise tous les mois en Arc de Seine. Vous pouvez les retrouver sur www.humanvillage.com
Voilà voilà !